
Être freelance vs salarié, avantages et inconvénients
Depuis que j'ai décidé de me mettre à...
Depuis que j'ai décidé de me mettre à...
Je voudrais commencer cet article par un aveu...
En général, je déteste les anglicismes, mais force est de constater que tout le monde parle de freelances, et beaucoup moins de travailleurs indépendants. En plus freelance tient en un seul mot, c'est pratique. Bon, j'essaierai d'utiliser un peu les deux...
Le travailleur indépendant donc, est une personne qui travaille en général seule et sans autre patron (au sens de la hiérarchie et du rapport de subordination) qu'elle-même. D'accord, mais concrètement ça veut dire quoi ? Cela veut dire que le travailleur indépendant n'a plus de patron à qui il doit des comptes en échange de son salaire, mais des clients à qui il fournit des prestations en échange d'une facturation.
Edit : J'ai publié le 5 novembre 2019...
J'évolue dans un milieu (associatif, éducatif, service public) où le terme marketing est très mal vu. Au départ, j'étais tout honteux de faire du marketing. Bouh, le vilain mot !
J'avais d'ailleurs gardé un souvenir très mitigé d'un de mes stages de webmarketing. Ma mission consistait à optimiser des campagnes Facebook pour inciter des jeunes à découvrir de nouveaux MMORPG (jeux de rôle massivement multijoueur).
Ce stage n'a pas été dénué d'intérêt, ne serait-ce que parce qu'il s'est déroulé dans une startup berlinoise en pleine croissance. Mais je ne m'y retrouvais pas à plein de niveaux, et surtout, je n'y voyais pas de sens. Pas d'impact. Pas de gain, ni pour la cible de mes campagnes, ni pour moi.
Lorsque j'ai décidé de me mettre en freelance, je suis parti sur l'idée que j'accomplirais grosso modo trois types de mission :
En travaillant ma présence web sur des plateformes de recrutement de freelance (Malt, XXE, Yoss, etc.), je suis tombé sur le site 5euros.com, découvert par le biais du site d'un confrère freelance (il faut encore que je prenne l'habitude de parler de confrère et de freelance, je me sens encore comme un nouveau-né dans ce monde).
Quand j'ai commencé à travailler il y a 5 ans maintenant, j'avais déjà en tête l'idée que je serais un jour à mon compte. Je ne savais pas quelle forme cela prendrait. Mais je savais qu'un jour, quand je me sentirais prêt, j'entreprendrais.
J'ai eu l'immense plaisir de participer aux ateliers proposés dans le cadre du Carnaval Numérique. J'ai ainsi proposé à des jeunes de 6 à 15 ans de s'initer à la création de leur propre jeu vidéo avec GameCode, l'une des applications composant la ressource Code-Decode (créée par Tralalere).
Le 8 mars, en pleine journée internationale des...