Encore une tribune techno-centrée pro Edtech !
Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas eu le plaisir d'une petite tribune techno-centrée et pro Edtech... Je reprends ici pour mémoire un fil twitter (lisez-le…
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Lire la suite →Si comme moi vous évitez Google et son tracking au maximum, cet outil va changer votre vie sur Youtube. C'est FreeTube, une application Linux/Mac/Windows qui…
Lire la suite →Depuis quelques temps, j'essaye de comprendre ce qui fonde une alternative numérique[efn_note]Les dimensions d’une alternative numérique[/efn_note], et je contribue à ma modeste échelle à les…
Lire la suite →Chouette trouvaille du soir sur mon Fairphone. Je cherchais un remplacement à Antidote, le dictionnaire / correcteur que j'utilisais jusqu'à maintenant, mais qui n'est plus…
Lire la suite →À partir de 15 minutes 22 dans l'émission La Terre au carré - émission du 9 mai 2022 : On parle beaucoup de sauver le…
Lire la suite →Depuis quelques temps, je vous parle de mon regret de dépendre des réseaux sociaux pour que mes articles parviennent à leurs lecteurs. À ma toute petite échelle je suis victime, comme tous les producteurs de contenus (y compris la presse) de ce qu'on appelle l'infomédiation. C'est à dire que mes lecteurs passent pour la quasi-totalité de leurs visites sur mon site par un intermédiaire. De manière écrasante, cet intermédiaire est Google, Facebook (et Instagram) ou Twitter.
Cette infomédiation présente pourtant plusieurs inconvénients, pour le lecteur comme pour le créateur de contenu. Pour le lecteur, ce sont des algorithmes qui déterminent votre flux d'actualité, et qui classent l'importance des réponses car vous n'avez pas le temps de tout lire. Or ces algorithmes n'ont pas vraiment votre stimulation intellectuelle ou le pluralisme de l'information à cœur. Pour le créateur de contenus, dépendre de ces infomédiaires est également une situation précaire, puisqu'on dépend à nouveau du bon vouloir des algorithmes pour que son article ressorte, fasse le buzz, avec tous les effets que ça peut avoir sur la rédaction, le choix du titre, la longueur de l'article, la profondeur des sujets traités, etc.
Pour ces raisons, il me semble de plus en plus préférable de moins dépendre de ces algorithmes pour accéder à l'information des sites et des blogs qu'on aime. Et la chance que nous avons, c'est que le web permet cela depuis 1999, au travers du format RSS.
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